mardi 28 janvier 2014

Coup de gueule



Paysages et décors magnifiques, mais comme Loulou l’avait fait sur la Guadeloupe dans son blog : http://labaladedeskreo.blogs.stw.fr/
                                                          
Coup de gueule  sur la saleté en dehors de la ville

Les prospectus donnés à l’office du tourisme montrent des paysages idylliques, bien propres,  un dépliant est même donné aux plaisanciers sur les conditions de ramassage des ordures.
Les locaux n’ont pas la même conception de la propreté et de l’esthétisme de leur ile.
Dès que nous quittons la ville de Port Elisabeth, les caniveaux sont remplis de tout un tas de détritus, bouteilles plastiques, vieux emballages. Les talus et ravins sont pleins de carcasses de voitures, de moteurs, de vieux pneus et de tout un tas de déchets abandonnés par la population.
Une partie de la route rejoignant l’aéroport est encombrée de gravas déposés là  par un camionneur non scrupuleux, ces gravas empiètent une bonne partie de la chaussée sur une vingtaine de mètres. Les voitures évitent cet obstacle, personne ne semble s’en soucier.
Le ramassage des poubelles semble pourtant bien fonctionner ici, on voit en permanence les véhicules ramasser poubelles et conteneurs.
Les cimetières sont laissés à l’abandon, les tombes s’écroulent sous la végétation qui les fait disparaitre.
Au lieu-dit « Paget Farm » traversé par la route, un tas d’immondices et de poubelles recouvrent les premières tombes situées en bord de route. Il est certain que les principaux intéressés ne se plaindront pas, mais le respect des ancêtres et des morts tel que mentionné sur les plaques commémoratives ne semble pas s’appliquer à tous de la même façon.
Ca, c’est pour les ordures, maintenant une autre chose  me reste à vérifier, c’est la légalité de la vente dans la rue de bracelets en écaille de tortue marine et de sculptures faites dans des os de baleine ou les dents d’orque épaulard. Evidemment le vendeur n’est pas au courant de la fameuse CITES et vend ses marchandises sans plus de formalité.
Ces espèces sont protégées. En 1988 St. Vincent a signé la convention de Washington sur la commercialisation des espèces sauvages.
Dans le cas d’interdiction, les acheteurs s’exposent à la confiscation des objets, à de lourdes peines d’amende et même de prison à leur retour dans le pays. Je me renseigne…

Plage de galets couvert d'immondices

Plages de sable blanc, (sous les détritus)

Bas côtés servant de poubelle

3 commentaires:

  1. Ouaip... sors le 347 magnum et le carnet de PV . n'oublie pas que t'es toujours au boulot ! Gaby

    RépondreSupprimer
  2. VAS Y MON PHIPHI.... détends toi un peu et oublies ton boulot ....
    PROFITES MILEDIOU !!!!!!!!!!!!!! Jérôme.

    RépondreSupprimer
  3. Profitez, profitez et surtout continuez à nous faire profitez de votre super voyage avec toutes ces photos plus belles les unes et les autres. Nous vous accompagnons mentalement. Pensez à nous ramener un peu de ce paradis.Grosses grosses bises. Annick et Jacques

    RépondreSupprimer