jeudi 26 septembre 2013

Mardi 24 septembre 2013.


 
Au petit jour

Lever de soleil

Un autre lever de soleil, c'est toujours magnifique

Irène s'entraine à la pêche

Cap de le Gata












































Bonne nuit de récupération bien solidement amarré au quai d’Almeria. Les dernières formalités remplies auprès de la capitainerie, formalités faites par de charmantes hôtesses très sexy et très efficaces,  nous reprenons la mer à 9 heures 30. (Il n’y aura pas de photo des charmantes hôtesses, tant pis pour Jepi et Ben).

Le port de plaisance d’Almeria n’est pas très grand, mais agréable et très peu cher en comparaison de ce que nous avons dû payer jusqu’à présent : 26 euros la nuit, avec un service exemplaire. Accueil par les marineros, qui nous aident à accoster et prennent les amarres. Ce sont eux qui attachent le bateau, tout cela dans un flot de paroles auxquelles il est souvent difficile de répondre, car nous ne comprenons pas tout. La fatigue, trop de mots et trop vite. Alors, c’est eux qui font, en montant sur les bateaux voisins, en courant sur le quai retendre ou relâcher cette amarre, reprendre ou relâcher ces foutues pendilles. Ils doivent vraiment nous prendre pour des débutants. Et tout cela avec des grands sourires et des« vale, vale » qu’il faut prononcer « balé, balé ».
 
Des grilles partout, agrémentées de peintures, mais des grilles

Encore des grilles

DIONYSOS au por d'Alméria



Etant bien reposés de la navigation du 22 au 23,  nous décidons de relier directement Gibraltar en suivant la côte.

La météo s’annonce favorable et il n’est pas prévu de coup de vent dans ce secteur sur de la méditerranée et sa non moins fameuse mer d’Alboran.
Le temps est beau, on sent bien que nous descendons vers le sud. Le soleil commence à être brûlant la journée, mais les nuits sont fraiches.
Ce matin la mer est d’huile et Dionysos avance au moteur à 5 nœuds par moment précédé d’une nuée de poissons volants fuyant l’étrave par centaines, en un large éventail bruissant de leurs immenses ailes transparentes. Pour peu on se croirait dans nos prairies où des myriades de sauterelles s’envolent à notre passage, dans le crissement de leurs ailes séchées par le soleil d’été.  

Photo 439, 442, 443,445, 446, 449, 451, 455,

3 commentaires:

  1. Tu me surprends toujours autant Fifi
    En toi sommeille un poète enfoui.
    Jéjé

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    Réponses
    1. Merci Jéjé de ton commentaire.
      Content de te surprendre, et tu verras c'est pas fini...
      Phil

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