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Au petit jour |
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Lever de soleil |
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Un autre lever de soleil, c'est toujours magnifique |
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Irène s'entraine à la pêche |
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Cap de le Gata |
Bonne nuit de récupération bien
solidement amarré au quai d’Almeria. Les dernières formalités remplies auprès
de la capitainerie, formalités faites par de charmantes hôtesses très sexy et
très efficaces, nous reprenons la mer à
9 heures 30. (Il n’y aura pas de photo des charmantes hôtesses, tant pis pour
Jepi et Ben).
Le port de plaisance d’Almeria n’est pas très grand, mais agréable et très peu cher en comparaison de ce que nous avons dû payer jusqu’à présent : 26 euros la nuit, avec un service exemplaire. Accueil par les marineros, qui nous aident à accoster et prennent les amarres. Ce sont eux qui attachent le bateau, tout cela dans un flot de paroles auxquelles il est souvent difficile de répondre, car nous ne comprenons pas tout. La fatigue, trop de mots et trop vite. Alors, c’est eux qui font, en montant sur les bateaux voisins, en courant sur le quai retendre ou relâcher cette amarre, reprendre ou relâcher ces foutues pendilles. Ils doivent vraiment nous prendre pour des débutants. Et tout cela avec des grands sourires et des« vale, vale » qu’il faut prononcer « balé, balé ».
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Des grilles partout, agrémentées de peintures, mais des grilles |
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Encore des grilles |
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DIONYSOS au por d'Alméria |
Etant bien reposés de la
navigation du 22 au 23,
nous décidons de
relier directement Gibraltar en suivant la côte.
La météo s’annonce favorable et
il n’est pas prévu de coup de vent dans ce secteur sur de la méditerranée et sa
non moins fameuse mer d’Alboran.
Le temps est beau, on sent bien
que nous descendons vers le sud. Le soleil commence à être brûlant la journée,
mais les nuits sont fraiches.
Ce matin la mer est d’huile et
Dionysos avance au moteur à 5 nœuds par moment précédé d’une nuée de poissons
volants fuyant l’étrave par centaines, en un large éventail bruissant de leurs
immenses ailes transparentes. Pour peu on se croirait dans nos prairies où des
myriades de sauterelles s’envolent à notre passage, dans le crissement de leurs
ailes séchées par le soleil d’été.
Photo 439, 442, 443,445, 446,
449, 451, 455,
Tu me surprends toujours autant Fifi
RépondreSupprimerEn toi sommeille un poète enfoui.
Jéjé
Merci Jéjé de ton commentaire.
SupprimerContent de te surprendre, et tu verras c'est pas fini...
Phil
vu ben
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